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« Persepolis est une bande dessinée de Marjane Satrapi, avant de devenir un film réalisé par Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud, produit entièrement en France, qui reçoit en 2007 le prix du jury à Cannes. À partir d’un travail dans les archives du film et des entretiens avec les membres de l’équipe, l’ouvrage retrace les processus de fabrication d’un film d’animation depuis le scénario jusqu’au mixage. Comment passe-t-on d’une autrice seule à sa table à une équipe de plus de cent personnes ? Comment les informations mais aussi les émotions se transmettent-elles au sein d’un collectif ? Comment les choix techniques et esthétiques sont-ils effectués lors d’un travail de plusieurs années ? Finalement, comment travaille-t-on ensemble à un projet de création singulier ? »

Publié avec le soutien de l’Institut universitaire de France, du laboratoire ARTES (université Bordeaux Montaigne) et du laboratoire LARA SEPPIA (université Toulouse-Jean Jaurès)

]]> https://anime.hypotheses.org/810/feed 0 IMANIMA prend le relais de Recherche animé(e) https://anime.hypotheses.org/692 https://anime.hypotheses.org/692#respond Thu, 30 Oct 2025 13:51:04 +0000 https://anime.hypotheses.org/?p=692 Continuer la lecture de IMANIMA prend le relais de Recherche animé(e) ]]> Initié par trois jeunes chercheur·es en études cinématographiques, IMANIMA est pensé comme un archipel des recherches francophones sur le cinéma d’animation. Il s’agit de faire un état des lieux de la recherche universitaire autour du cinéma d’animation, mais également de contribuer à nourrir cette production : pour cela, IMANIMA proposera d’une part un annuaire des chercheur·es concerné·es, notamment pour développer un véritable réseau de recherche, et d’autre part sera à l’initiative de divers événements de recherche pour permettre aux doctorant·es et docteur·es de se rassembler et de dialoguer.

En 2025-2026, IMANIMA lance ainsi son premier séminaire de la jeune recherche en animation à la BUFR Philosophie de l’Université de Nanterre. De novembre 2025 à juin 2026, à raison d’une séance par mois le lundi soir de 18h à 19h, plusieurs jeunes chercheur·es se succéderont pour évoquer leur travail en cours. Cette première saison visera à faire l’état des lieux des nouvelles recherches en cours : comment penser l’animation aujourd’hui ? Par quelles approches ? Comment appréhender les nouvelles images ? Comment et pourquoi revenir à des formes ou des films mis de côté jusqu’ici ?

En octobre 2025, IMANIMA ouvre ce carnet de recherches visant à mutualiser les ressources présentes dans l’espace de la francophonie (bibliographies, thèses, mémoires, cours…), à structurer de manière pérenne un réseau de la recherche par le biais d’un annuaire accessible sur demande, et à faire vivre la réflexion sur l’animation par des articles de diverses natures (comptes-rendus, critiques, notes de lecture…). 

Par ces initiatives, IMANIMA espère proposer un espace pour rendre visible le dynamisme des recherches francophones en cours. Plus nombreuses et variées depuis le début des années 2010, celles-ci s’avèrent toutefois encore éparpillées en raison du peu de spécialistes en poste pérenne dans l’enseignement et la recherche, et des différences disciplinaires ou encore géographiques. L’objectif central d’IMANIMA est de favoriser la rencontre entre les acteurs et les actrices qui participent à l’étude de l’animation aujourd’hui.

L’équipe :

Elisa Carfantan, docteure en études cinématographiques à l’Université de Rennes 2

Émilien Peillon, doctorant en philosophie politique à l’Université de Paris Cité

Oriane Sidre, docteure en études cinématographiques à l’Université de Picardie Jules Verne

 

Remerciements : 

L’existence de ce carnet de recherche est rendue possible grâce à la générosité de Marie Pruvost-Delaspre, Maîtresse de conférences en études cinématographiques à l’Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis. Le carnet d’Imanima a été établi à partir du site Recherche animé(e), autrefois géré par Marie Pruvost-Delaspre, et élargit son projet de centralisation des références sur l’animation japonaise à la constitution d’un centre de ressources portant plus généralement sur les écrits francophones sur l’animation.

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Anime https://anime.hypotheses.org/1 https://anime.hypotheses.org/1#comments Thu, 03 Oct 2013 14:30:56 +0000 https://anime.hypotheses.org/?p=1 Continuer la lecture de Anime ]]> Le cinéma d’animation japonais, s’il jouit aujourd’hui d’une grande visibilité et d’une certaine appréciation, reste un objet rare dans la littérature scientifique. Pourtant, de l’histoire du cinéma aux théories du genre, les entrées sont multiples pour aborder cette cinématographie vaste et variée. Dans la lignée de études de fan et des travaux de Henry Jenkins se sont développés aux Etats-Unis une approche tournée vers la réception et l’anthropologie visuelle. Pourtant, de nombreuses pistes restent encore inexplorées, les travaux dispersés et peu accessibles. Il s’agira donc de constituer à la fois une bibliothèque idéale du chercheur consacré à l’animation japonaise, et une réflexion épistémologique et méthodologique sur les moyens de l’approcher.

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Japanese animation, un ouvrage réflexif bienvenu https://anime.hypotheses.org/100 https://anime.hypotheses.org/100#respond Fri, 02 Aug 2013 13:46:28 +0000 https://desimagesquibougent.wordpress.com/?p=100 Continuer la lecture de Japanese animation, un ouvrage réflexif bienvenu ]]> Vient de paraître il y a quelques jours un ouvrage collectif dont on peut supposer qu’il aura une place importante dans le développement des études sur l’animation japonaise. En effet, Japanese Animation – East Asian Perspectives, publié par les presses de l’université du Mississipi et édité par la chercheuse Tze-yue Hu, auteur de Frames of Anime, et Masao Yokota, ancien président de la JSAS (Japanese Society for Animation Studies), regroupe des textes d’auteurs et de chercheurs dont le travail offre un nouveau point de vue sur le sujet, déjà largement abordé par la littérature anglo-saxonne, de l’histoire de l’animation japonaise.

 

Il ne s’agit donc pas, insiste Hu dans l’introduction de l’ouvrage, d’un nouveau livre sur l’animé, mais bien d’une réflexion méthodologique sur l’approche et l’enseignement que devrait permettre cette cinématographie, à partir d’une réflexion menée lors de la conférence annuelle de l’EAJS en 2008 autour du thème ‘Teaching and Researching Japanese Animation’.

Le projet semble de fait fondé sur une forte ambition pédagogique, celle de mettre à disposition des chercheurs hors du Japon des textes qui n’avaient jamais été traduits jusque là : “pouvoir faire référence aux sources primaires traduites en anglais permet de rendre ce champ d’études moins obscur et intimidant, et réduit les chances de mauvaise interprétation et d’incompréhension. Ce sont les principaux problèmes rencontrés par les chercheurs étrangers qui tentent d’accéder aux matériaux disponibles uniquement en langue japonaise.” (p. 4) Hu souligne également que, issue d’un département d’études cinématographiques, sa formation ne lui permettait pas une parfaite compréhension des sources japonaises nécessaires à son travail de thèse (Understanding Japanese Animation, Université de Hong Kong, 2002), sans que les spécialistes de cinéma japonais semblent de leur côté s’intéresser à ce médium populaire.

L’intérêt de cet angle de vue, outre sa réflexivité bienvenue, est qu’il permet de se pencher sur l’histoire de l’enseignement et de la recherche au Japon, depuis la création de la JSAS (1998) en particulier. Celle-ci occupe d’ailleurs deux chapitres de la première partie de l’ouvrage, accompagnés de commentaires sur la recherche au Japon, dont un article du célèbre historien de l’animation japonaise Nobuyuki Tsugata et un autre de l’actuel président de la JSAS, Masashi Koide. Hu note de son côté que la tendance de l’édition au Japon semble plutôt de se concentrer sur une méta-approche du phénomène, à l’image de Anime bunka gaikô de Sakurai Takamasa, qui évoque ses rencontres avec des fans étrangers.

Hu conclue donc que “non seulement ce livre aborde et fait montre de la pertinence d’une approche de l’animation japonaise comme faisant partie intégrante de l’histoire et de la culture japonaise, mais il sert également de guide revu pour le développement de cours et de recherches en lien avec les associations asiatiques […] Ainsi, les perspectives est-asiatiques présentées ici ne visent pas seulement à stimuler une compréhension active de l’enseignement et de la recherche sur le sujet, mais espèrent inspirer de nouvelles voies concernant l’animation japonaise en général” (p. 14).

Il semble que ce projet dans son dessein d’ensemble soit louable, dans la mesure où il refuse de fermer l’étude de ce cinéma aux étudiants et chercheurs qui ne maîtriseraient pas la langue, et sous-entend quelque part la nécessité pour la recherche japonaise de s’ouvrir au monde extérieur. Pourtant, il est difficile de se départir du sentiment qu’une telle ségrégation nationales des auteurs, dont on souligne bien sûr la proximité culturelle avec le Japon qui renforceraient leur compréhension des œuvres, laisse la porte ouverte à une vision extrêmement essentialiste des études cinématographiques, qui ne serait pas à même de faire avancer la recherche dans ce domaine, qui souffre déjà largement de l’hostilité entre spécialistes de la culture populaire et japonologues.

 

RÉFÉRENCE

Yokota Masao et Hu Tze-yue, Japanese animation: East Asian perspectives, Jackson, University Press of Mississippi, 2013, 256p, 41€, en vente ici.
 
 

SOMMAIRE

Frameworks of teaching and researching Japanese animation – Tze-yue Hu

Some thoughts on the research essays and commentary – Masao Yokota

A bipolar approach to understanding the history of Japanese animation – Nobuyuki Tsugata

Reflections on the Wan Brothers’ letter to Japan: the making of Princess Iron Fan – Tze-yue Hu

On the establishment and the history of the Japan Society for Animation Studies – Masashi Koide

More history of the Japan Society for Animation Studies – Hiroshi Ikeda

Chiyogami, cartoons and silhouette: the transition of Ôfuji Noburô – Akiko Sano

The Japanese Walt Disney: Masaoka Kenzô – Yasushi Watanabe

Animating for ‘whom’ in the aftermath of a World War – Tze-yue Hu

Tezuka and Takarazuka: intertwined roots of Japanese popular culture – Makiko Yamanashi

Growing up with Astro Boy and Mazinger Z: Industrialization and Japanese animation in the art and culture of South Korea – Dong-yeon Koh

From haiku and handscroll to Tezuka: refocusing space and camera in narrative of animation – Kenny Chow

Grotesque cuteness of shôjo: representations of Goth-Loli in contemporary Japanese TV anime- Akiko Sugawa-Shimada

Animated interracial romantic fantasies: Japanese male and non-Japanese female characters – Joon yang Kim

3D computer graphics: creating and teaching professionnal animated techniques in Innocence and Doraemon – IKIF

Animation and psychology: the midlife crisis of Kawamoto Kihachiro – Masao Yokota

The background of the making of Flying Phantom Ship – Ikeda Hiroshi

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Conférence d’Eiji Otsuka au Québec https://anime.hypotheses.org/51 https://anime.hypotheses.org/51#respond Wed, 13 Mar 2013 11:09:13 +0000 https://desimagesquibougent.wordpress.com/?p=51 L’Université canadienne Concordia à Montréal a accueilli, dans le cadre d’une série de conférences sur le thème Experiencing Media Mix: Anime, Manga, Video games, l’écrivain et essayiste japonais Eiji Otsuka, observateur pertinent de la culture populaire japonaise.

Sa présentation du 4 février 2012, centrée sur la production animée japonaise de propagande et ses liens avec la théorie du montage d’Eisenstein, est disponible sur la chaîne YT de Concordia.

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Colloque « Archives et acteurs des cinémas d’animation en France » https://anime.hypotheses.org/38 https://anime.hypotheses.org/38#respond Thu, 28 Feb 2013 10:43:51 +0000 https://desimagesquibougent.wordpress.com/?p=38 Continuer la lecture de Colloque « Archives et acteurs des cinémas d’animation en France » ]]>

Colloque « Archives et acteurs des cinémas d’animation en France » 30 et 31 octobre 2013, à l’INHA
IRCAV – Université Paris 3 – Sorbonne Nouvelle

En 1982, Raymond Maillet de l’Association française du cinéma d’animation (Afca) parvient à mettre en place l’exposition Le dessin animé français : 100 ans de création. Il s’interroge : « Pourra-t- on renouveler pareille exposition dans dix ans (pour le centenaire de la première projection publique d’un dessin animé au Musée Grévin par exemple) dans vingt ou cinquante ans ? A défaut d’un musée national où seraient déposés et conservés non seulement les fragiles témoins du passé mais aussi ce qui concerne la production contemporaine dont il faut penser à assurer la sauvegarde dès aujourd’hui, il est à craindre que le patrimoine du dessin animé français soit exposé à un danger réel de disparition. »

Où en est-on trente ans plus tard ? C’est précisément cette question que ce colloque se propose de soulever, à travers la problématique des archives et acteurs des cinémas d’animation en France, c’est-à-dire à la fois une réflexion sur l’historiographie, l’archivistique, les premiers observateurs français, mais aussi un état des lieux des nouveaux acteurs et des pratiques contemporaines. Nous aurons également à cœur d’organiser un certain nombre de tables rondes, conçues comme un lieu de discussion entre des professionnels, des journalistes et écrivains et les chercheurs invités.

 

En effet, alors que les universités anglo-saxonnes possèdent des groupes de recherche ou des revues consacrés au cinéma d’animation depuis de nombreuses années – l’Animation Journal fondé en 1991 par Maureen Furniss ou encore l’Animation Research Centre dirigé par Susan Buchan – la France s’ouvre depuis quelques années à cet objet longtemps considéré comme négligeable. Il semble donc opportun d’organiser un colloque consacré aux cinémas d’animations dans leur pluralité, qui permettrait dans un premier temps de cartographier l’état de la recherche en France. Si chacun aborde dans son travail cet objet multiple et protéiforme qu’est le cinéma d’animation selon une méthodologie qui lui est propre, il semblerait que les approches esthétiques et/ou historiques soient jusqu’ici restées majoritaires. Ce colloque ne se donne pas pour but d’indiquer une manière de faire, mais revendique au contraire, autour du partage d’un même objet, une forme aiguë de pluridisciplinarité et d’interdisciplinarité. Il restera ainsi ouvert à diverses approches, inspirées de disciplines variées et complémentaires, autour d’un point commun : la volonté de ne pas prendre cet objet de haut, de lui donner une place centrale et recontextualisée.

Voici quelques uns des axes qui seront privilégiés dans le choix des communications :

–  la question des archives, dans leur aspect pratique (exploitation des fonds, récolte et conservation des documents de production (cellulos, model sheets, etc.) ainsi que des contenus digitaux) mais aussi plus largement autour de problématiques bibliographiques (les écrits critiques tels ceux d’André Martin par exemple) ou historiques (le rôle du festival d’Annecy, l’AFCA, le CNC)

–  les cinémas d’animation français et en France, abordés à travers la question des écoles professionnelles, de l’enseignement de l’animation ou encore des nouvelles pratiques (le transmedia, les liens avec les jeux-vidéos, la French Touch)

–  les approches esthétiques, les influences extérieures dans les cinémas d’animation français et leur rayonnement.

Merci d’envoyer une proposition de 500 mots, pour une intervention orale de 20 minutes suivie d’une séance de discussion de 10 minutes, accompagnée d’une courte bio-bibliographie avant le 31 mai 2013 à l’adresse cinemasdanimations@gmail.com, pour une réponse du comité scientifique au mois de juin. Les actes du colloque seront publiés chez L’Harmattan.

Comité scientifique : Sébastien Denis, Chantal Duchet, Lucie Merijeau, Marie Pruvost-Delaspre, Sébastien Roffat.

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]]> https://anime.hypotheses.org/38/feed 0 SAS Symposium: Change and Continuity at ITFS, Stuttgart 2013 https://anime.hypotheses.org/20 https://anime.hypotheses.org/20#respond Mon, 04 Feb 2013 15:22:21 +0000 https://desimagesquibougent.wordpress.com/?p=20 Continuer la lecture de SAS Symposium: Change and Continuity at ITFS, Stuttgart 2013 ]]> An academic symposium on “Change and Continuity: Interdisciplinary Aspects of Animation, Comics and Literature” is organised by SAS and Stuttgart International Animation Festival. Read the call for papers.

This one-day symposium (25 April 2013) is organized by the 20th Stuttgart International Animation Festival ( 23-28 April 2013),  in collaboration with the Society for Animation Studies, the School of Art, Design and Media at Nanyang Technological University Singapore, the Institute of Media Studies at Eberhard Karls University Tuebingen and the Literaturhaus Stuttgart.

It invites abstracts for 20-minute presentations and welcomes proposals on all aspects of cross-disciplinary influences and relations between literature, comics (graphic novels) and animation/film.

Topics can include, but are not limited to:

  • Adaptations of written literature for comics and/or animation/film
  • Adaptations of comics and graphic novels as animation or live action films
  • Historical studies on communalities between comics and animation
  • Influence of comics on animation and vice versa: historic and current
  • Comic adaptations of life action and animation films
  • Comic artists as designers for animation and life action
  • Games and comics
  • New hybrid forms between comics and animation: motion comics, animated comics, interactive comics
  • Hybrid forms of written literature and comics/animation
  • Animated poetry
  • Analysis and comparisons of narrative structures in literature, comics and animation
  • Avant-garde approaches of combing and re-inventing the media in new context
  • Graphic journalism
  • Sequential visual storytelling
  • Animation and illustration

The symposium is aiming to be highly interdisciplinary and international in nature, bringing together scholars, students, academics and artists from diverse fields of research and professional practice. Proposals, which relate to the symposium topics in the wider sense will be preferred.

Please e-mail abstracts of 250 words maximum (excluding title) to the attention of the conference review committee at: sasconference_itfs[at]hannesrall.com

Abstracts should include name, affiliation, e-mail address, and the title of  proposed paper. Please  also provide a short CV, with a maximum of 300 words as a separate document.

Deadline for submissions: Friday, February 18, 2013. Authors of accepted papers will be notified in the third week of March.

The call is open to all interested scholars, researchers and practitioners.
Accepted speakers as well as visitors of the symposium will need to get an accreditation for professionals at the Stuttgart International Festival of Animated Film 2013.

This will allow full access to the symposium as well as to the complete program of Stuttgart International Festival of Animated Film for a very moderate fee-details will follow closer to the conference date.

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